Nous avons créé pour Chanel une installation photographique ouverte sur décor. Inspirée d’un paravent Coromandel, elle est composée d’un panneau miroir,
de deux panneaux lumière (vitres sablées) et de deux panneaux de chaque côté, permettant un ajustement de l’installation au décor du lieu.
La cabine V-235 a été conçue pour la boutique Chanel Joaillerie Avenue Montaigne mais peut s’adapter à vos évènements et à d’autres espaces.
Nous avons créé pour Chanel une installation photographique ouverte sur décor. Inspirée d’un paravent Coromandel, elle est composée d’un panneau miroir, de deux panneaux lumière (vitres sablées) et de deux panneaux de chaque côté, permettant un ajustement de l’installation au décor du lieu.
La cabine M-220 a été conçue pour la boutique Chanel Joaillerie Avenue Montaigne mais peut s’adapter à vos évènements et à d’autres espaces.
Nous avons créé pour Chanel une installation photographique ouverte sur décor. Inspirée d’un paravent Coromandel, elle est composée d’un panneau miroir, de deux panneaux lumière (vitres sablées) et de deux panneaux de chaque côté, permettant un ajustement de l’installation au décor du lieu.
La cabine V-235 a été conçue pour la boutique Chanel Joaillerie Place Vendôme mais peut s’adapter à d’autres espaces comme ici au Printemps Haussman.
La Photomobile a mis en place pour la FIAC une installation photographique invitant les convives à vivre une expérience hors du commun: un espace clos par deux rideaux, un miroir déformant à l’intérieur et du texte. Le mot « regarder » inscrit sur la face extérieur et la phrase » c’est ce qui se passe lorsque l’on oublie le nom de ce que l’on voit » inscrite à l’intérieur.
Cette phrase, inspirée de la citation de Paul Valery « regarder, c’est ce qui se passe lorsque l’on oublie le nom de ce que l’on voit » légendait également les tirages remis aux invités.
Cette expression nous rappelle ce qu’il faut d’attention pour comprendre ce que l’on voit du monde qui nous entoure. Plus qu’un souvenir, l’image qu’ils ont emportée avec eux, au moment de découvrir les œuvres exposées lors de cette FIAC 2014, leur rappelait sans cesse :
» mais qu’est ce que je suis en train de regarder ? »